Mardi, lors d’une rencontre en Turquie entre Recep Tayyip Erdogan, Charles Michel et Ursula von der Leyen, aucune chaise n’avait été installée pour la présidente de la Commission européenne, obligée de s’asseoir sur un canapé à l’écart des deux hommes politiques. Critiquée, Ankara se défend de toute faute et impute la responsabilité à l’Union européenne.